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TRAVERSÉE DE LA FRANCE
À LA RAME
POUR LA PROTECTION DES CIVILS DANS LES CONFLITS ARMÉS

Cet été, vivez l’aventure avec nous !

Un parcours de plus de 1100 km à travers la France pour rejoindre l’Atlantique en aviron, avec pour objectif de soulever des fonds pour l’ONG genevoise l’Appel de Genève, qui opère dans les zones de conflit pour empêcher les violences envers les populations civiles. 

Pour chaque franc perçu, 80 centimes seront reversés à l’Appel de Genève et 20 centimes financeront notre périple et les activités de l'équipe d’aviron de l'Université de Genève.

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NOTRE PARCOURS

Au départ de Genève, nous espérons parcourir les 1100 km et franchir les 61 écluses et 10 barrages à travers les 9 départements qui nous séparent de l’Atlantique à bord d’un bateau d’aviron en bois de 100 kg datant des années 1970, offert par la Société Nautique de Genève pour nous encourager.
 
Si nous parvenons à surmonter tous les obstacles et à résister aux longues heures de rame nécessaires à l’atteinte de notre objectif, nous espérons rejoindre l’océan par la Loire à Saint-Nazaire en un mois.

Notre but : soulever des fonds pour l’Appel de Genève, qui dialogue avec les groupes armés pour faire respecter le droit humanitaire et protéger ainsi les populations civiles.

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NOTRE CAUSE

Par le dialogue et la négociation, l’Appel de Genève cherche à faire changer les pratiques et politiques des groupes armés pour qu’ils protègent les populations civiles d’abus tels que le recrutement d’enfants soldats, le déplacement de populations ou la violence sexuelle dans les zones où ils sont actifs.

La protection des populations vulnérables en zone de conflit est l'affaire de tous. Comme nous le montre tristement la situation dans de nombreux pays tels que le Yémen, l'Afghanistan, le Soudan ou la Libye, les nouveaux conflits impliquent de plus en plus des acteurs armés non-étatiques, avec qui il est indispensable de dialoguer afin de faire respecter les règles humanitaires les plus basiques. L'Appel de Genève se charge de ce dialogue pour le bien des populations locales. Par cette initiative, nous souhaitons soutenir leur démarche et ainsi faire une différence.

Pour en apprendre plus sur l’Appel de Genève, visitez leur site internet sur 
genevacall.org.

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NOTRE ÉQUIPE

Créée en septembre dernier, notre équipe s’entraine 7 à 8 fois par semaine en collaboration avec la Société Nautique de Genève et participe à des régates inter-universitaires et autres défis sportifs. Après 6 mois d’entraînement seulement, nous sommes parvenus à nous imposer face à plusieurs centaines de rameurs en décrochant 6 médailles d’or, 1 médaille d’argent et 3 médailles de bronze lors de nos deux premières régates à Toulouse et à Nantes. Mais ce qui nous motive encore plus que ces résultats, c’est l’amitié qui nous lie aujourd’hui !

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JOURNAL DE BORD

JOUR 1

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C'est le début de l'aventure pour l'équipe. Après un petit déjeuner copieux avec les amis et la famille, nous sommes partis à la rencontre de notre premier barrage (le premier d'une longue série !). Dès Verbois, les difficultés se sont fait sentir, mais avec l'aide du reste de l'équipe restant à Genève nous l'avons franchi !
Ensuite, nous avons navigué jusqu'au prochain barrage, celui DE CHANCY-POUGNY. La journée s'est déroulée sous une forte chaleur mais les bagnades étaient appréciées. 
La nuit tombée, nous avons fait camp près de fort l'écluse. La nuit fut très calme accompagnée d'un concerto de grenouille ! 

JOUR 2

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Les difficultés se présentent bien vites ! Sur le fleuve, se dresse cette immense machine humaine, cet ouvrage d'art qu'est le barrage de Genissiat. Véritable fleuron de l'énergie hydraulique sur le Rhône et véritable plaie pour les rameurs, il nous a valu un détournement par un col d'une distance de 7 km (un dénivelé tout aussi impressionnant). 
Suite à cet effort sous une chaleur caniculaire, nous avons pris du repos dans la ville de Seyssel. 

JOUR 6

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Après un repos nécessaire à la reprise de la route suite aux longs portages des derniers jours, nous avons quitté Seyssel pour descendre le Rhône jusqu’au barrage de Belley, où nous laissons la yole ce soir pour passer la nuit dans la ville de Yenne, en Savoie. Demain, réveil matinal pour un des derniers jours sur le Rhône !

JOUR 7

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Aujourd’hui était jour de reparations, devenues necessaires à la suite de fuites apparues dans la yole. Bien que plus d’une heure fut necessaire à lui rendre son étanchéité des premiers jours, un départ matinal nous a permis de parcourir plus de 45 km et de passer le barrage de Porcieu-Amblagnieu, où nous passons la nuit. Demain objectif Lyon, à 60km, où le Cercle de l’avrion de Lyon nous accueillera pendant de notre temps à terre!

JOUR 8

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Les premiers coups de rame ont eu lieu dès l’aube pour profiter de la fraîcheur en prévision de la longueur de la journée. Les premiers 40 km ont été parcourus avant la pause de midi. Le plus dur avait été fait nous disions-nous; il n’en était rien. L’absence de cale de sortie et d’entrée et la présence de deux barrages et d´un seuil a nécessité trois difficiles portages. Avec une pause de midi de deux heures, nous arrivons à Lyon à 21h, quittant définitivement le Rhône pour la Saône, après la journée la plus éprouvante du début de l’aventure. Merci au Cercle de l’aviron de Lyon de nous avoir accueilli et nous avoir permis de nous ressourcer en bonne compagnie!

JOUR 9

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Nous naviguons désormais sur la Saône ! Dans ce sens, nous sommes à contre courant et chaque kilomètre vaut son effort.Nous avons ramé toute la journée et parcouru un total de 47km. La soirée fut couronnée par un très beau couché de soleil ! 

JOUR 10

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Depuis le début de notre aventure, notre progression est rendue possible grâce à un chariot réalisé sur mesure pour l’occasion. Après nous avoir fièrement aidé à franchir les barrages du Rhône, les premières marques des efforts effectués sont apparues. Avant Lyon, l’essieu en bois a commencé à se fissurer, et plus tard dans la même journée nous perdions notre première chambre à air. C’est aujourd’hui cependant que l’état du biroues a été le plus problématique :  alors que nous franchissions le barrage de Dracé, un pneu a éclaté, nous forçant à aller en acheter un autre dans une ville voisine et mettant une fin prématurée à cette journée après 12km seulement. Le chariot maintenant reparé, nous nous rejouissons de repartir demain matin!

JOUR 11

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Un vent tempétueux souffle du nord, rendant notre progression encore plus difficile à contre courant. Nous parvenons tout de même à parcourir 20km avant notre pause de midi à Mâcon. Nous ramons la même distance l’après-midi et c’est bien dépensés que nous finissons cette journée, avec en tête celle de demain qui sera la dernière sur la Saône!

JOUR 12

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Après 12 km très matinaux pour notre dernier jour sur la Saône, nous nous arrêtons pour le petit déjeuner dans la ville de Tournus, avant de franchir le seul barrage de la journée. 42 km nous permettent d’atteindre Chalon sur Saône, où nous passons la nuit. Demain, nous nous élancerons sur le Canal du Centre et ses 61 écluses !

JOUR 13

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Après une bonne nuit à Chalon, nous repartons rechargés direction la première écluse du canal du Centre, dans une ambiance festive car la ville s’apprête à accueillir l’arrivée du Tour de France le soir même. Malheureusement, l’éclusier en chef refuse de nous laisser passer, malgré les assurances reçues par téléphone quelques semaines plus tôt. Après une discussion animée, l’accès à tout le canal nous est interdit. C’est dépités que nous retournons à Chalon. Heureusement, le Cercle de l’aviron de Chalon sur Saône nous sauve la mise. Non seulement ils nous convient à leur verrée de fin de saison et nous hebergent, mais ils proposent d’amener notre bateau à Digoin le lendemain pour que nous puissions continuer notre périple. Un immence merci à Sidney, président du club, pour son accueil incroyable, et à Axel et Thierry pour avoir proposé de prendre en charge le transport. Tout le reste de l’aventure leur est dédié !! Demain avant le départ, nous sommes conviés à l’entraînement du club; nous avons hâte de ramer avec eux!

JOUR 14

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Ce matin, nous nous joignons à l’entraînement du Cercle de l’aviron de Chalon sur Saône et parcourons 16km en huit. Ambiance et bonne humeur, nous nous réjouissons déjà d’une future visite à Chalon. Côté rame, ça a fait du bien de retrouver des bateaux plus légers. Axel et Thierry nous emmènent ensuite à Digoin, où nous déjeunons. Alors qu’Amanda s’apprête à nous quitter le lendemain, nous accueillons Léo, son remplaçant. Nous nous élançons pour quelques kilomètres sur la Loire en fin de journée. Son manque de profondeur nous force à descendre du bateau à de maintes reprises et à le pousser les pieds dans l’eau. La coque a heurté des hauts fonds, ouvrant de nouvelles voies d’eau. Des réparations s’annoncent pour demain..

JOUR 15

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Quelques clous, du scotch, et la yole flotte à nouveau. Nous n’avons pas de quoi réaliser de reparations plus complètes pour le moment. Nous repartons peu avant midi pour notre première journée pleine sur la Loire ; elle sera rythmée par les haut-fonds et les seuils. Quand nous ne descendons pas du bateau pour les passer, nous devons souvent ramer à bras et scruter leur apparition. En allongeant grandement notre temps sur l´eau, nous parvenons tout de même à parcourir 30 km. Un seuil particulièrement important nous décide de passer la nuit près de Saint-Aubin sur Loire, et de le franchir le lendemain matin.

JOUR 16

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Passer le seuil de Diou nous a pris une bonne partie de la matinée, necessitant un portage long sur un terrain glissant et inégal. Nous y sommes parvenus grâce à l´aide de deux kayakistes schaffhousois. Nous continuons notre progression, peinant à depasser les kayaks en raison de nos nombreuses descentes du bateau pour passer les haut-fonds. Les villages se font rares, nous devons marcher pour aller chercher de l’eau dans les terres. Le paysage est splendide, et les oiseaux sauvages nombreux. Nous parvenons à parcourir 30km.

JOUR 17

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Nous partons de bon matin pour tenter de rattraper une partie du retard. La Loire change, elle s'élargit mais son niveau n'augmente pas. Nous devons slalomer à bras entre les troncs qui jonchent son lit. Nous arrivons à Decize pour midi, heureux d'avoir parcouru 25km. L'après-midi commence par un portage pour passer un barrage, puis se poursuit sans encombre pour finir les 40km de cette journée. Demain, cap sur Nevers et le bec d'Allier ! 

JOUR 18

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Près de 20 km après le départ, nous tombons sur un seuil. Un portage dans les pierres nous permet de le passer sans encombres, et d’arriver pour 14h à Nevers pour passer un deuxième seuil avec l’aide de kayakistes. Après un repas en ville, nous repartons, pour nous trouver à l´autre pont de la ville, pas plus praticable ; un troisième portage s’impose. Nous passons le bec d’Allier en début de soirée et plantons notre tente sur une île en contrebas.

JOUR 19

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Un départ matinal nous permet de parcourir 25km et rallier la belle ville de La Charité sur Loire pour la pause de midi, lieu de notre seul portage de la journée. La Loire est toujours peu profonde, et nous devons marcher la yole à l'eau plusieures fois par kilomètre. Nous maximisons donc notre temps sur l'eau pour continuer d'avancer suffisamment. Les paysages boisés et les îles de sable nous enchantent toujours. Nous dormons non loin de Sancerre, ayant parcouru près de 50 km. 

JOUR 20

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Notre plus grande crainte avant notre départ était que notre bateau ne tienne pas ce que cette traversée allait exiger de lui, notamment en raison de son âge. Quelques virages après avoir mis la yole à l'eau ce matin, c'est pourtant les restes d'un pont datant de l'époque romaine qui, pour la première fois, ont causé des dommages nous forçant à rejoindre la rive la plus proche. Les réparations prendront au moins la journée, nous plantons donc notre tente à Saint Satur. 

JOUR 21

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Les reparations de la yole prennent plus de temps que prévu, notamment en raison du temps de séchage des matériaux utilisés. Après avoir travaillé tard dans la nuit hier, nous finissions en début d’après-midi. Nous profitons de notre halte forcée pour aller visiter le village de Sancerre. La yole est maintenant réparée. Nous remercions Ivan et son fils Théo de Loire Nature Découvert pour l’aide inestimable qu’ils ont apporté à ces reparations et leur hospitalité. Demain nous reprenons notre avancée !

JOUR 22

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La yole est à flot! Nous repartons avec precaution car nous entrons dans une zone de la Loire parsemée de rochers silex, de nouveaux obstacles à éviter. Nous parvenons à rejoindre la centrale de Belleville, où nous nous faisons écluser pour la première fois. Malheureusement, nous touchons un rocher en contrebas et devons colmater le bateau pour supprimer la voie d’eau. Espérons que tout sera sec demain matin!

JOUR 23

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C’est à quatre que nous reprenons notre progression ; Vittorio, lassé à juste titre par les difficultés de navigation sur la Loire, nous quitte. La matinée est passée à attendre le séchage de la réparation. Les cailloux sont nombreux sur les kilomètres qui suivent, mais la Loire plus profonde. Nous touchons parfois, mais la yole tient bon. Nous passons la nuit à Gien, satisfaits de notre avancée.

JOUR 24

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Après un petit déjeuner en conpagnie de rameurs croisés sur les quais de Gien, nous reprenons la rame sur une Loire plus profonde mais parsemée de cailloux. Les voies d’eau créées ces derniers jours obligent une réorganisation : notre équipage se compose à présent d’un barreur, de deux rameurs et d’un écopeur à temps plein. Nous nous arrêtons à Sully pour nous procurer le matériel nécessaire aux reparations puis repartons. Nous visons Orléans demain !

JOUR 25

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Les réparations nous ont pris une bonne partie de la matinée. Une fois la résine sèche, nous voguons vers Orléans. La chaleur entrave quelque peu notre avancée mais nous y parvenons en début de soirée, avec un passage de rapides sous pont grandiose. Nous y retrouvons Cyprien, qui remplace Léo. Nous nous réjouissons de la suite avec lui!

JOUR 26

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L’envie de profiter d’Orléans était trop forte ; nous y passons une partie de la matinée et reprenons notre route vers 11h. Les quatre ponts restants de la ville passés, le fond de la Loire nous permet de ramer plus de 35 km et de rallier Beaugency, magnifique village où nous passons la nuit.

JOUR 27

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C’est plein d´entrain que nous repartons de Beaugency, avec l’envie de ramer enfin sans discontinuer le plus possible. Malheureusement, nous heurtons un pieu en bois 6km en contrebas. En quelques secondes, la yole se remplit d’eau et ainsi nous nous retrouvons avec une grenouille, une écrevisse et un poulpe d’eau douce à bord.  Une fois le rivage rejoint, nous parvenons à nous mettre à l’œuvre rapidement ; nous ramenons nos affaires de l'île sur laquelle nous avions dû les entreposer, et nous allons acheter de quoi faire les réparations. La journée de demain leur sera consacrée.

JOUR 28

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Dès le réveil, nous nous attelons à la réparation de la yole. Nous parvenons à lui rendre son étanchéité, ainsi qu’à renforcer la barre et redresser une dame de nage. Un grand merci à Jérôme pour son aide salvatrice durant toute la journée. Le soir, nous nous rendons à Beaugency, où une représentation retrace le rôle de son château à travers les siècles. Vivement le depart de demain !

JOUR 29

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C’est reparti ! La Loire est plus aisément navigable, malgré un vent d’ouest qui nous ralentit. Un seul portage nous attend, ce qui nous permet de rallier Blois et ainsi de parcourir près de 40 km. Nous y retrouvons Marianne, qui est venue nous prêter main forte pour enfin ramer en équipage complet. Nous passons la nuit à Blois. Merci à Marie-Dominique de l’association Observatoire Loire pour son incroyable hospitalité !

JOUR 30

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Nous quittons Blois dans la matinée. Les ponts nous séparant de la sortie de la ville sont difficiles à passer, mais la vitesse d’un équipage au complet nous permet d’arriver à Chaumont vers 11h30. La visite du château fait de notre pause de midi une des plus réussie, et nous repartons pour Amboise, où nous passons la nuit.

JOUR 31

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Heureux d’avoir passé le pont d’Amboise la veille, qui a nécessité un long portage, nous nous élançons vers Tours. La Loire est plus sinueuse et des bancs de sable nous forcent à mettre régulièrement pied à terre. Après la ville, la Loire s’élargit et malgré le vent tempétueux d’ouest, nous parvenons à parcourir plus de 50km.

JOUR 32

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Nous nous élançons, desireux de faire de cette journée une grande étape. La Loire est toujours sinueuse et les bancs de sable nous surprennent à quelques reprises. Nous passons un pont à rapides, seule difficulté de la journée. A la confluence avec la Vienne, la Loire change : nous retrouvons les fonds profonds et un chenal nous guide sinueusement. A Saumure, la mère de Cyprien nous attend avec du ravitaillement bienvenu. C’est à quatre que nous reprenons notre route pour camper quelques kilomètres en aval.

JOUR 33

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Le chenal nous fait parcourir des kilomètres supplémentaires, mais le fond est là, ce qui nous permet de rallier les Ponts-de-Cé à midi, où Melanie nous attend pour remplacer Cyprien, qui a dû nous quitter la veille. Le balisage se normalise, et nous parvenons à 56 km de Nantes, ce qui fait un total de 82 km parcourus aujourd’hui ! 

JOUR 34

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Le départ est matinal, dans le but de nous rapprocher le plus possible de Saint-Nazaire. Nous descendons la Loire, sans, pour la première fois depuis des semaines, devoir mettre le pied à l’eau à cause d’obstacles. Nous parcourons 54 km et arrivons à Nantes, pour une pause crêpes attendue. La marée nous y retient jusqu’à 20h, et notre progression nous amène à quelques 30 km de notre destination finale, où, sous les étoiles, une rame tribord se rompt en deux, mettant un terme à l’étape du jour après plus de 90km. 


JOUR 35

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Nous sommes arrivés à Saint-Nazaire!!! Les premiers coups de rame ont eu lieu à 7h30 pour profiter de la marée et arriver à 11h à destination, où un journaliste de Ouest France nous attendait. Un immense merci au club d’aviron OS Saint-Nazaire pour leur accueil! Nous sommes enchantés d’avoir pu mener ce projet jusqu’à son terme. Nous tenons à remercier tous les donateurs pour leur soutien à la protection des civils en zone de conflits armés, ainsi que tous ceux qui nous ont aidé de près ou de loin à réaliser cette traversée! 

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Avec un don de 20.-, vous nous aiderez à parcourir les 20km qui nous séparent de la frontière française !

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Avec un don de 1100.-, vous nous accompagnerez jusqu’au bout de notre périple !

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